Pour Maha et moi :D

Invité

Pour ceux qui comprennent pas c'est un topic pour les écrits , poemes ...

Puis-je te déranger, te confier mes chagrins ?
Ce soir est froid, j'ai besoin d'écrire à quelqu'un
Je n'ai trouvé personne d'autre, désolé
Rassure-toi mon coeur n'a pas été volé
Mais de la solitude je ressens l'ivresse
J'ai le coeur meurtri, le coeur rempli de tristesse
La haine me dévore, que dois-je donc faire ?
Plus le temps passe et plus je succombe à l'enfer
Chaque matin je cherche une raison de vivre
Et je ne trouve même pas de quoi de survivre...

Ce soir je meurs, car seul, comme un roi sans sa reine
La Lune est pleine, mon coeur aussi, mais de peines
Les Astres sont sans espoir et me désespèrent
Mon envie : rejoindre les Anges et Dieu le père,
La vie n'est pas un cadeau mais juste un hasard
L'amour a fait de mon coeur le plus grand bazar
Mon âme fuit mon corps attirée par le Ciel
La voûte céleste semble tellement belle
Je m'ennuie, je m'éloigne, les Anges m'ignorent
Je médite, je m'égare et triste m'endors...

Les mots me manquent pour m’exprimer,
Mes pensées ne font que m’oppresser,
Je ne sais comment avouer mon admiration
Je m’extasie face à votre création…

[C'est tout ce que j'ai pour l'instant, je suis en train d'en écrire un... ]

[Et les floodeur, siouplé, cliquez sur la croix rouge en haut à droite ... ]

EDIT

L’inspiration tarde à venir,
Mais tes mots guident mon avenir,
Ils résonnent en moi
Guidant mes pas.

[‘tain c’est naze on se l’refait]

Musique douce résonnant à mes oreilles
Cœur jeté à l’eau tel une bouteille
J’attends un secours qui tarde à venir
Une attente qui détruit mon avenir
Etes vous prêt à m’écouter ?
Etes vous prêt à me soigner ?

[Encore naze…Bon respire Po tu vas y arriver …Ok c’est bon j’me lance !]

Marre de fantasmer,
Dans mon cou tes baisers,
Sur tes lèvres t’embrasser
Des frissons me traverser,
Un écho se répéter,
La lumière de nos âmes fusionnées

Mon corps par tes yeux dévorés,
Ma jupe sur mes cuisses relevée,
Mon intimité par tes mains explorée,
Ma pudeur face à toi envolée.
Je m’offre à toi, ainsi en ai-je décidé
Regarde moi telle une déesse dévoilée

A ton amour entièrement dévouée
Joies et peines nous seront partagées
Nos chemins enfin liés,
Nos corps alliés,
L’un de l’autre on ne puit se passer
Puisse notre voie ne jamais se séparée

[Mué bon j’ai pas pu faire mieux pour l’instant -_-‘ C'est d'une profondeur ...J'vous raconte pas ! ]

Invité

Et j'inscrivais ces quelques mots sur cette feuille
Croyant que rien ne les effacerait jamais
Que même le temps ne pourrait les réclamer
Et qu'auprès de vos coeurs ils trouveraient accueil.

Et la folie cette même fleur que je ceuille
Tous les jours, perdu dans mes pensées, enflammées
Si mes mots de liberté étaient affamés
Ils étaient en mon esprit comme en un cerceuil.

Mes mots voulaient être écrit voulait être lu
Et mes poèmes souvent étaient leur salut
L'unique, contre une disparition certaine.

Et j'inscrivais ces quelques mots sur ce papier
Mots qui avaient traversé mon esprit à pied
Et qui bientôt ne seraient que pensées lointaines.

Peace.

Histoire de réunir tous nos écrits ici ^^

(¯`·.·>Po<·.·'¯) a écrit:: Parce que vous avez encore parlé d'écriture, je me sens obligée de mettre mon dernier texte, celui que je viens de terminer à l'instant même !

Il ne va rien se passer, nous allons juste nous regarder, nous saluer, nous ignorer, nous désirer, nous aimer, et être perdus tout le reste de la soirée…
Il ne va rien se passer, et nous allons certainement nous en vouloir, j’en suis sûre ! Et nous serons perturbés jusqu’au jour où l’on en parlera enfin, où l’on aura décidé de tout s’avouer…
Il ne va rien se passer, je souffrirais en silence, et tu me regarderas souffrir en souffrant aussi, tu reviendras vers moi et je te reprendrais comme je l’ai déjà fait…
Il ne va rien se passer, je te rejetterais en prétextant que je me sens incapable de continuer alors que dans le fond j’en meurs d’envie, mais je ne veux pas qu’il y ait de fin à notre histoire…
Il ne se passera rien, nous essayeront de nous oublier et nous nous oublierons, et puis, nous retomberons amoureux et nous nous rendrons enfin compte que nous n’avons jamais cessé de l’être…
Il ne va rien se passer, tu seras mon Zahir, je ne cesserais de penser à toi, et tu prendras tellement de place que dans chaque objet, chaque être, chaque bout de vie je ne verrais que toi…
Il ne se passera toujours rien et je ne verserais aucune larme parce que pour toi je n’en ai jamais versée et que je n’aimerais pas que cela se produise, parce que je ne voudrais pas te rabaisser au niveau de celui qui a volé une part de moi…
On se perdra de vue, j’essayerais de rêver d’un autre mais je n’y arriverais pas, j’essayerais de l’aimer mais je n’y arriverai pas, j’essayerais d’aimer nos enfants mais il les aimera plus que moi…
Il ne se passera plus rien et je serais triste sans cesse, je camouflerais ma douleur sous des habits plus chers que la vie elle-même, je fréquenterais des personnes que je ne pourrais supporter mais que je supporterais quand même parce que je n’aurais rien d’autre à faire et je serais à la hauteur de ce qu’on attendra de moi…
Et puis, enfin, Dieu abrégera mes souffrances, ce même Dieu qui me regarde pleurer à Ses pieds, assis sur Son trône d’étoiles merveilleuses, me laissant sombrer dans le néant de Sa création qu’est la vie, ce Dieu qui me nargue avec Son sourire reposant et effrayant à la fois, ce Dieu en qui je crois et en qui je doute des fois…

- Jerem - a écrit:: Vous m'avez donné envie ...

Il y eut ce soir où le Ciel était dénudé d'étoiles
Oui, un de ces soirs où d'autres créatures se dévoilent
Je vous vis belle étoile mais que faisiez-vous donc sur Terre ?
Votre place est auprès de la Lune, elle en serait si fière...
Mais ne partez pas tout de suite, votre présence est d'or
Restez encore un peu car vous m'êtes d'un tel réconfort.
Toutes les étoiles sont-elles aussi irrésistibles ?
Le mots me manquent, ô désespoir, mes désirs : impossibles...
Mieux vaut que je n'en dise pas plus, et pour moi, et pour vous
Je vous laisse, tous vous réclament, brillez... rendez les fous !

Sans que je n'y puisse rien mes mots s'évadent
Et essayer de les garder en moi me rendrait malade,
J'ai tant de choses à vous dire, par où donc commencer ?
Peut-être par ce rêve, hier soir, où je vous enlaçais...
Douce est votre peau : je lâchais un baiser dans votre paume
J'étais le plus heureux des rois car vous étiez mon royaume...
Je ne me souviens de rien d'autre concernant ce doux rêve
Juste vous... vous et moi... votre tendre présence m'élève.
Mais le rêve prends fin tel ce poème bientôt... pourquoi ?!!
Il me tarde de vous revoir, de vous parler.. charmez-moi...

Bof ..C'est l'dernier ..Peace.

Puis je vous garder près de moi
Même si vous ne m’appartenez pas
Je rêve de vous comme du paradis
Vous êtes mon paradis je crois
Je ne sais comment vous avouer mon amour
Etes vous prêt à l’entendre mon amour ?

A travers les vitres de ma prison de verre
Je perçoit vos bribes de poèmes et vos vers
Ils m’atteignent en plein cœur et m’achèvent
Je me noie dans leurs flots et j’en crève.

A travers les limbes de la vie
J’erre sans but, je vous fuis
Perdue dans une forêt dense de secrets
Je me cache pour ne plus rien avouer.
La peur d’être déçue me hante
La douleur que j’éprouve m’enchante.

A travers l’immense désespoir
Je cherche une échappatoire
Une sortie vers l’infinie
Une entrée pour la vie
Un moyen de ressusciter vos sentiments
Ou un moyen d’étouffer les miens …

Prends moi et sauves nous ou envoi moi valser et tues nous pour de bon…

Cancre Nombre de messages : 49 Age : 32 Date d'inscription : 24/12/2006

En moi cessera d'exister
celle qui faisait ce qu'elle voulait et qui pensait
sans avoir de préoccupation.
En moi, arriveront a vivre
milles problèmes que je nie
que j'enferme dans mon petit coeur.
Tu sais que c'est vrai, c'est ta réalité
Déjà qu'elle n'est pas simple, ta manière d'agir,
tu sais que c'est vrai, tu sais qui t'admire
et qui t'aime pour de vrai.
Parce qu'il reste en moi des choses que j'ai vues
qui m'ont changé
aujourd'hui je ne donnerai pas mon coeur a n'importe qui
il reste en moi quelque chose qui dit qu'il m'en coûte chaque jour de le montrer et de te l offrir

(ba voila je m'incruste)

eh bin ! chavais pô moi que t'écrivais !! Et tu mla même pô dit !! ca sfait trop pas !!

A la lueur d’une bougie,
Sous l’effet d’alcool dont j’ai fait une orgie,
Dans une atmosphère à l’odeur indiscrète
D’une dernière cigarette,
Camouflée pas l’enivrante exhalaison d’encens
Dont la fumée s’élève emportée par le vent.
A mes oreilles résonne une musique
Aux effet terriblement hypnotiques
Mon corps déposé à même le sol froid,
Nu, il n’attends et n’espère que toi

Il me faut peut être tourner la page,
Cette décision serait peut être plus sage
Mais la curiosité me poussa à bout
Et me fait tenter le tout pour le tout.

La flamme de la bougie s’éteint,
Mais celle de tes yeux m’éclaire quand je ferme les miens.
Mon crayon noircit les pages blanches
Y inscrivant mes pensées les plus franches
Et si je m’aventure à te faire lire ce poème
C’est pour insister et te redire que je t’aime…

***
Mais qu’est-ce que l’amour ?
Un sentiment qui dure toujours ?
Une haine si forte qu’elle provoque le désir ?
Des blessures profondes à en mourir ?
Une douleur si agréable recherchée sans cesse ?
Une soif qui étanchée que par des caresse ?
Une illusion basée sur l’imagination ?
Ou une perfide machination ?

***

Le froid glace mon sang déjà froid
Une force nouvelle croît en moi
Est-ce le courage de ne plus pleurer ?
Celui-là ne m’a jamais vraiment quitté…
Est-ce la jalousie envers ses autres ?
Tu en avais fermé toutes les portes
Est-ce la rage de ne plus t’appartenir ?
Ce sentiment que je ne puis supporter de ressentir ?

La rage ….

Ce sentiment qui me ronge,
Qui me poursuit jusque dans mes songes
Ce sentiment qui me hante
Qui me détruit sans que je ne le sente
Ce sentiment qui me fascine par sa puissance
Qui me faire valser au rythme d’une transe
Ce sentiment qui me ressemble
Au point que j’en tremble.

***

La musique cesse enfin
Mon cœur bat sans fin,
Je tente de le calmer, en vain
Le sang laisse place au venin
Dans mes veines coule le chagrin

[Musiques : The call of Ktulu (Metallica), Bliss (Muse), Question, Chop suey (SOAD)]

Invité

Poète, je le suis à mes heures de libre
Si Dieu le veut, et si dans mon coeur les mots vibrent
Le stylo se saisit de moi, sur cette feuille
Je contemple avec stupéfaction et acceuille
Ces vers qui apparaissent comme par magie
Alors cette satisfaction sur moi agit,
Celle-ci qui fait que je me sens un artiste
Cette oeuvre : ce poème qui par moi, existe...

*~Jerem~*

Flood Master Nombre de messages : 724 Age : 33 Date d'inscription : 19/09/2006

Nassim, tu es comme le vent
Rapide, agile et souvent
Assez vif dans tes pensées
Que tu n'utilises jamais

J'ai crée un poème^^

Ca c'était nul !!

Je me souviens d’une euphorie passée
D’une joie éphémère que tu as provoquée
D’un trouble si grand que j’en ai tremblé
D’un chamboulement qui m’as secoué.

Je suis là, debout, perdue dans les limbes de la vie,
Et quelque part entre la réalité et la fiction tu me souris
Je pense au passé, les remords me rongent,
Je m’endors enfin mais tu hantes mes songes

Je m’adresse à un Dieu qui m’as oublié,
Le suppliant de m’achever,
Le suppliant de me faire oublier,
Le haïssant de n’être qu’un mythe inventé

Mon corps inerte ressemble à une poupée de chiffon
L’absence du moi en moi trouble ma vision
Mon esprit essayant de pénétrer le tient,
Tente de récupérer mon âme que tu détiens.

Je t’imagine faute de pouvoir te voir
Je te désire faute de pouvoir t’avoir
Je t’aime faute de pouvoir t’ignorer
Je t’écris faute de pouvoir te dessiner

[en cours d'SVT, en cours d'arabe, devant mon ordi ]

ok et pour que ce soit pas un flood je vous mets un truc

la maigre a de la taille et de la liberté
la grasse est dabs son port pleine de majesté

misanthrope Moliére

VP quoi ... -_-'

Autonarguage :

Tu as voulu tenter le diable,
Mais il t’a fermé les yeux en y projetant du sable

Tu as voulut lutter contre ton passé,
Mais tu n’as fait, qu’au présent, le lier

Tu as voulu y croire,
Mais maintenant tu coules dans le désespoir

Tu as voulu prolonger ta souffrance
Et elle ta fait entrer en transe …Mais qu’elle transe !

Tu t’es risquée à immortaliser les sentiments que tu éprouvais, à les coucher par des mots sur du papier, mais ils n’ont fait que t’échapper.
Tu t’es risquée à tout lui avouer, mais la situation n’as fait qu’empirer, lui n’en prenant pas compte, t’ignorant et toi, comme une rose, te fanant.

Invité

J'ai la flemme d'écrire en c'moment xD

Tant pis alors ...ca reviendra bien!

EDIT [20:04]

Un excès d’inspiration envahit mon âme, je la sens qui va exploser, je la sens, plus incontrôlable que jamais. Et toi là, toi qui en manque tellement, j’aurais presque pitié de toi si je ne t’appréciais pas autan, j’aurais presque envie de me moquer de toi si ça ne m’était jamais arrivé. Mais au lieu de cela, j’ai comme une envie de te tendre la main, de plonger mes yeux dans les tiens et de t’ordonner par un simple murmure : « Fais de moi ta Muse… »

Invité

Toujours la flemme ...J'me sens mal ...Quelle est cette sensation bizarre ? J'me sens froid ...Est - ce ce qu'on apelle la dur réalité de la vie ?

Invité

Où es-tu ? Où te caches-tu donc toi qui m'es destinée ?
Existes-tu seulement toi pour qui mon amour est inné ?
Dois-je te chercher ou dois-je t'attendre ? Qu'en sais-je ?
J'ai besoin de toi, mon coeur se meurt : la haine l'assiège...

S'il te plaît rassure-moi fais-moi rien qu'un seul signe
Pourquoi tant de temps ? Lis ma détresse dans ces lignes
S'il fait beau et chaud, mon coeur reste gris et glacial
Je me bats contre mon envie avec cette patience art martial.
La patience est un arbre dont les racines sont amères
Mais le fruit doux, oui, à des millions d'années lumières
Tout vient à point, à qui sait attendre dit le proverbe
Le temps passerait-il plus vite si je fumais de l'herbe ?
Il est tellement difficile de trouver le parfait amour
Et tellement facile d'haïr n'importe qui juste pour...
Avoir le sentiments d'exister, pas plus qu'un autre
Mais d'exister déjà dans ce coeur qui est le vôtre
Haïssez-moi ou aimez-moi où est la différence ?
Vous m'êtes indifférent et je serais votre souffrance
Tristes gens fuyez... je cherche juste mon ange
Je cherche celle à qui mon être point ne dérange
Me liras-tu un jour ? Je te l'abandonne inachevé
Ce poème qui t'es destiné à toi que j'ai tant rêvé...

Invité

Ce monde, cette humanité ridicule.
Certains ont le pouvoir d'aimer,
moi j'ai le pouvoir d'haïr plus que ce que tu ne peux l'imaginer.
J'ai tant de haine...
Envers tout le monde, envers moi...
Un peu moins envers ce que je devrais aimer si j'étais "normal".
Ma famille, mes amis...
Masi ma haine est bien réelle.
Cela fait depuis trop longtemps que je ressens cela.
Je sens bien que ma haine est "spéciale".
Elle n'est pas passagère...
Elle reste à ce jour secrète. Absolument secrète. (jusqu'à aujourd'hui...)
Je la garde au fond de mon coeur précieusement.
Ne sachant pour l'instant comment l'utiliser pleinement.
Attendant le bon moment...

Invité

Ce monde est voué à l'échec, j'en suis certain.
Car tout va de mal en pire chaque matin,
Je me demande à quand une troisième guerre
A quand la fin du monde : ce monde vulgaire...
Honte à moi : triste humain; honte à vous : les humains,
Nous ne savons faire que le mal de nos mains !
Vivement la mort de cette inhumanité,
Quand l'anarchie ne sera plus que vérité...

Un tit commentaire avant déditer pour mettre un texte :

" Ouille "

Invité

Ouille ?

Msn ^^

Invité

Je lis tes mots et une impression de déjà vu me traverse comme un coup de tonner, comme un choque électrique, comme si je me lisais moi-même, comme si tu avais plongé au fond de mon âme pour y trouver et y puiser les mots que je ne parvenais pas à faire surgir. Malgré l’admiration et l’incompréhension, j’ai peur…Mais cette peur m’est tellement familière, et cette peur est tellement insupportable, et je me demande "pourquoi" sans trouver de réponse, et ça fait mal, et ça fat du bien, et ça me plais…Pourtant je déteste ça !

J’ai peur même s’il est trop tard, j’ai peur même si ça ne sert plus à rien, je souffre de ne pouvoir le garde pour moi, je souffre de voir ta réponse, et même si mon cœur en pleur, mes yeux restent aussi secs que le sable blanc du désert qui m’as envahit, refusant de céder sous le poids des larmes, ses larmes si inutiles, ses larmes si brûlantes, ses larmes si libératrices…a en croire que je ne veux pas être libérée…Mais de quoi au juste ?!

Mais à quoi bon ? Je n’ai de cesse de lutter contre…Contre quoi d’ailleurs ? Et là ? Pourquoi relis-je notre conversation sans cesse, pourquoi ai-je la désespérante habitude de chercher l’espoir là où il ne peut être ? De le créer là où il n’existe pas ? De le perdre quand il ne faut pas…Mais le désespoir m’est tellement agréable, et chaque victoire de sa part comble mon âme vide de sens, autant que celles des autres, si ce n’est plus. Et j’en crève pour mieux en renaître.

J’aimerais tellement savoir… Mais quoi au juste ? Tout est tellement flou, même ce que je crois savoir, tout me semble tellement hors de la réalité, tellement ancré dans la fiction, et même mes tremblements me semblent inexistants au point de les ignorer complètement, moi qui ait l’habitude de vivre sur un nuage, dans ma bulle, dans le monde que j’ai créer, dans celui que je me plais à détruire pour tenter de mieux reconstruire, ce pays de nulle part dont je suis la princesse et dont j’ai fait de toi la lune qui éclaire mes nuits de vide totale, de chaos céleste.

Invité

Ma vie n'est ni un poème, ni un roman.
Ce n'est pas la grande aventure, loin de là
La vie est un long fleuve tranquille, voilà,
Moi je préfère rêver à chaque moment...

Ma vie n'est pas telle une pièce de théâtre,
Ni d'actes, ni de public, ni même de scène.
Je me dis des fois que la vie n'en vaut pas la peine,
Vivre ou suvrivre, moi je ne veux plus me batttre.

Mon destin fut écrit par un analphabète
Avec beaucoup moins de Soleil que de tempêtes
Naufragé de la vie, et naufragé du temps...

On ne vit qu'une fois, oui, c'et ce que je crois
Cependant la mort ne me fait ni chaud ni froid
Vivre c'est ne pas avoir vécu : vrai pourtant...

Invité

Mon tout premier premier :

Il m'est des soirs de solitude où je sens les étoiles me détester
Des soirs où l'univers entier n'a pour seul but que de m'attrister
Ce fut par un de ces soirs, je vous assure que je ne l'oublierai point,
Que je vous vis princesse et que je compris : de vous j'avais besoin...
Quand votre corps se distingua de la foule, que se dessina votre être
Il était trop tard, en mon coeur cette passion venait alors de naître
Vous étiez si sublime, que je désirais déjà tout connaître sur vous
Mais bon moment et bon endroit ne sont jamais au rendez-vous
La nuit vous fit disparaître, vous et tous mes espoirs de bonheur,
Alors mes rêves vous furent dédiés tels ces vers dont je suis l'auteur...

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